divendres, 14 d’octubre del 2022

 Les jolies vacances

VII. Collioure 

Les dernières jours: l'Église Notre Dame des Anges,  Banyuls sur mer et les moules-frites





Les jours passent a Collioure, le temps se'n va sans faire de bruit, doucement... 

J'aimerai qu'il reste un peu plus longtemps, j'aimerai l'arrêter encore quelques instants...




Maintenant, que je suis presque d'ici, que je me sens déjà chez moi...

Que, j'ai l'impression de faire partie de ce paysage...


Le jolie appartement, que j'ai fait mien, est plein de mes choses et disposé a ma manière.  

Je n'ai pas besoin de rien et je sais ou trouver les rues, les boutiques, les ateliers, le supermarché, les restaurant...

Je connais des gens et ils me saluent dans la rue. 

Le garçon du supermarché, le chauffer du Petit Train...

J'ai rencontré la femme de la boutique ou j'avais achetté une jolie robe l'autre jour.  Hier, j'ai croisé sa route précisément le jour où j'ai décidé de porter la robe pour la première fois. Elle a plaisanté en simulant la surprise de ne pas reconaître la robe: -"Quelle belle robe!! ou l'as-tu achetée?"

Puis, quan je rentre à la maison, je retrouve mon hôte dans les escaliers qui me demande si j'ai besoin de quelque chose de plus.

C'est le sentiment d'être à la maison...


La ville est gentile.

Hier, il a plu toute l'après midi et le soir et ça a donné à la ville une certain air de la vie quotidienne.  

Ce matin, pendant je me brossais les dents, j'ai vu du balcon une école de petits enfants en ligne, main dans la main.

La température a baissé légèrement et le matin les tenues sont plus hivernales: les touristes, toujours avec un short mais une veste para dessus.



J'ai demande à mon hôte un secheur-cheveux parce que j'ai froid après la douche avec les cheveux humides.

Et j'ai sorti la coverture du placard pour la mettre sur le lit.

Ce ne ressemble plus le temps de vacances. 
L'été part doucement...



Je peux deviner que ce ne serai pas facile de partir d'ici


Et le gentil "cavalier" que j'avais retrouvé?

Nous nous sommes vus tous les jours: on a fait rendez-vous pour lui présenter a Machado, avant faire la route du Petit Train, visite à l'Église Notre Dame des Anges,  promenade sur la plage, séance photo, dernièr verre de vin en regardant la mer, dïner d'adieu à Banyuls sur mer, et assiette de moules frites le jour avant partir, épuisant les instants finals...toujours difficile le dernier mot, le dernier regard, et le silence...

Finalment, j'ai resté un jour de plus, mais le temps vient quand même et je doit faire le coeur fort

Dans le dernier chapitre du livre d'Einstein et les vèlos, Irvine a écri: 
"Le ciclisme est une meditation en action"

Ainsi que j'ai dit au revoir à mon hôte qui m'a aidé à remettre les sacoches sur le vélo et je pars en regardant vers l'avant, en équilibre...

... et la ville me voit partir et me sourit en complice de l'histoire commun, elle me regarde coquine et me fait un dernier câlin à l'estation du train...

À velo on découvre que tout ce qui se passe dans la vie, va bien...

Irvine dit que faire un long voyage à vélo et réflexir sur ce voyage, nous done l'opportunité d'élargir nos horizons et nos limites: voir le monde sous un nouvel angle. 

Et je dis: Pour avoir un nouvel angle, une autre vision plus creative, il faut simplement tourner un peu l'appareil photo 😉











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